lundi 30 mars 2009

30 secondes... en mars

Il y a quelques jours, Béo m'a invité à répondre à ce questionnaire. Je m'étais engagé à le faire ; il me semblait n'avoir rien à dire sur sur ces questions posées, mais en y pensant 30 secondes, il y a toujours quelque chose à dire mais il m'aura fallu un peu plus de temps.

Si tu pouvais partir n'importe où en avion, tout de suite, où irais-tu ? (3 choix possibles)
D’abord en Angleterre : Londres, la région de Cumbria, la région de Norfolk, la région de Cumbria, Stonehenge ; et, pourquoi ne pas faire un saut en Écosse, visiter les châteaux hantés, le Loch Ness, et un saut en Irlande.
Ensuite, la Grèce : Athènes, quelques îles, le Péloponnèse et, évidemment, Pella. Bien entendu, tout cela a du sens à condition que je ne parte pas seul.
Finalement, après avoir vu tout cela, j’aurais sûrement de nouvelles idées pour les destinations suivantes. Mais ce pourrait être Paris, d’où je pourrais partir à la découverte de régions que je ne connais pas, et aller voir des amis. Cela dépendrait de mon amoureux, car c’est d’abord à lui que je pense.

Hammam ou sauna ?
S’il faut choisir, je choisirais le sauna, à vapeur sèche, au bain de vapeur. Cependant, j’ai été membre durant un certain temps d’un centre où je pouvais, après le gymnase, passer à la piscine, au bain à remous, au bain de vapeur, au sauna, tout cela entrecoupé de douches, bien entendu.
Je cherche un endroit semblable qui ne sera trop encombrés de tristes individus qui n’aiment rien de plus au monde que leur propre corps.

Aliments détestés ?
Je ne vois pas. J’aime tout ce qui est bon, tout ce qui se mange. Si ce n’est pas bon, c’est peut-être parce qu’on n’a pas su l’apprêter.
C’est plutôt par principe que j’éviterais de manger certains aliments, comme de la viande, et tout particulièrement la viande de certains animaux.

La dernière personne que tu as eue au téléphone ?
Je suis content de rédiger ce billet à ce moment-ci, car la dernière personne à qui j’ai parlé ce soir est ma merveilleuse amie Pierrette qui, malheureusement, a eu un grave accident il y a quelques jours. Elle s’en tire mieux que l’on pensait. Je lui apporterai des fleurs mercredi.

Ta couleur préférée ?
Oh, ça dépend pour quoi. Le noir pour bien des objets et des vêtements, de même que le gris foncé. Le rouge pour certains objets, parfois. Le rose, pour des fleurs, des nappes, de la papeterie ; j’ai souvent eu aussi des chemises roses et je rêve depuis longtemps d’intégrer du rose dans une pièce. En décoration, le choix est vaste. Ce que je n’aime pas, ce sont plutôt les contrastes violents.

Dors-tu avec une peluche ?
Oui. J’ai eu, durant plusieurs années, un bel ourson couleur caramel. L’été dernier, un magnifique petit lapin rose aux grandes oreilles tombantes est arrivé et, depuis, il dort avec moi ; quelques mois plus tard, un petit bulldog est venu lui tenir compagnie et à moi par conséquent.


À 60 ans, le prince Charles, futur roi d’Angleterre, du Royaume-Uni, dort toujours avec l’ourson de son enfance, l’emportant partout où il va dormir. J’en connais d’autres qui ne dormiraient jamais, chez eux ou ailleurs, sans leur animal ou leur personnage préféré, en peluche ou en chiffon.

Tes blogues que tu lis chaque jour ?
Depuis quelques mois, je lis moins régulièrement les blogues que j’avais l’habitude de lire et je dois dire que je n’en découvre pas de nouveaux non plus. Je reste toutefois fidèle à quelques-uns de la liste de droite (que je devrais toutefois mettre à jour).

Peux-tu toucher ton nez avec ta langue ?
Je n’en vois vraiment pas l’intérêt. Je préfère mille fois mieux utiliser ma langue pour toucher quelqu’un d’autre, et pas n’importe qui, bien entendu.

Qu'as-tu envie de changer dans ton appartement ?
Tout, ou presque. J’aimerais bien pouvoir recommencer à neuf, n’emportant que des livres, des carnets, quelques objets qui ont une valeur sentimentale (comme mes petites théières, par exemple), et le contenu de mon ordinateur. Je ne tiens pas particulièrement à l’ordinateur lui-même.
En attendant, il faudrait un peu plus de rangement et la peinture aurait besoin d’être rafraîchie. J’en profiterais pour aménager un petit coin pour manger ou prendre le thé en tête-à-tête…

Quel est ton deuxième prénom ?
J’ai deux prénoms, avec un trait d’union. Je n’ai donc qu’un seul prénom, composé. Sans Joseph, ni rien d’autre. Mon amoureux, lui, en a toute une série, et je les aime.

Et ton surnom ?
J’ai toujours détesté les surnoms. Le jour où je me suis abonné à Internet, le 5 août 2000, j’ai eu besoin d’un pseudonyme : Alcib existe depuis cette date. Des amis, français pour la majorité, qui connaissent l’existence de mon pseudo m’appellent parfois Alcibounet.

Ta série TV favorite ?
Aucune. Je ne regarde pas les séries et presque pas la télévision. Je devrais avoir le courage de ne jamais l’ouvrir et prendre plutôt un livre ou encore des carnets pour écrire. Depuis quelques mois, la correspondance occupe une bonne partie de mon temps.

Le dernier film que tu as vu au cinéma ?
Au cinéma, en salle ? Ça remonte loin. Je crois que c’était « Souvenirs de Brokeback Mountain » ou, si l’on est en France, « Le Secret de Brokeback Mountain ».

Ta brasserie préférée à Paris ?
En ce moment, je rêve plutôt de pubs, à Londres ou dans les petits villages où les gens, jeunes et vieux, et même les chiens, chantent l’après-midi.

Sais-tu changer un pneu de vélo ?
Probablement, mais je préfère payer quelqu’un pour le faire.

En boucle dans ton iPod actuellement ?
Je n'ai pas de lecteur mp3, sauf' sur mes ordinateurs. Depuis quelques mois, je n’écoute que la radio sur Internet : BBC – Radio 3.

Café ou thé ?
Le thé, depuis très longtemps. Le café, le matin, me donne envie de déménager des meubles ; il est un stimulant musculaire. Comme je préfère travailler avec ma tête, le matin surtout, je bois du thé. L’an dernier encore, il m’arrivait de prendre du café l’après-midi quand j’allais lire ou écrire à l’extérieur. Maintenant, c’est un litre de thé noir le matin, genre English Breakfast, et l’après-midi, avec mon amoureux, du thé vert ; je ne bois peut-être un café qu’une fois par deux mois.

Crois-tu au « miracle » des crèmes amincissantes ?
Je crois aux miracles, mais pas forcément à celui-là. Ces marchands de crèmes et d’illusions ne feront sûrement pas d’argent avec moi.

Pour perdre à coup sûr 5 à 6 kg sans privation, tu fais quoi ?
Je bouge ; ainsi je ne me prive pas ; au contraire, j’ajoute un plaisir à ma vie.

Comment choisis-tu tes lectures ?
Je lis beaucoup moins qu’il y a quelques années. Mon amoureux, lui, lit énormément. J’ai souvent l’impression que ce sont plutôt les lectures qui me choisissent. Et il y a les affinités électives, les amis de nos lectures deviennent parfois des amis.

Tes bonbons préférés quand tu étais petit ?
Quand j’étais enfant, je me souviens que ma mère achetait pour Noël de grandes quantités de bonbons, pour faire plaisir aux enfants, bien sûr, mais durant la période des fêtes, il me semble qu’il y avait partout des plats de bonbons, comme de petits bouquets de fleurs. C’étaient des bonbons durs, aux couleurs vives et variées ; j’aimais beaucoup les rouges, mais il fallait au moins goûter à toutes les couleurs.

Puis il y avait aussi des réglisses. Je ne me souviens pas de la marque, mais ils ressemblaient à ceux-ci.


Depuis un an, j'adore ceux-ci :


Ton meilleur souvenir de rentrée scolaire ?
Je n’ai pas de souvenir particulièrement heureux de la rentrée ; c’était toujours un moment un peu difficile. Timide et solitaire, j’appréhendais toujours l’accueil que j’allais recevoir. J’aimais les heures de classe, un peu moins les récréations. Avant la rentrée scolaire, il y avait l’achat des vêtements pour la nouvelle année scolaire ; ces semaines qui précédaient la rentrée étaient plus excitantes que la rentrée elle-même car j’aimais me sentir bien habillé.

Ta grand-mère comptait-elle beaucoup pour toi ?
J’aurais aimé, oui, mais ma grand-mère était déjà très âgée quand j’étais enfant. Je parle bien sûr de ma grand-mère maternelle ; mon père n’a pas lui-même connu sa mère. Je n’ai pas bien connu ma seule grand-mère, et elle avait un trop grand nombre de petits enfants pour les connaître vraiment. Je compense en aimant les grands-mères des autres, comme celle de mon amoureux, par exemple, que je ne connais encore qu'à travers lui.

Que préfères-tu dans ton travail actuel ?
La liberté et la créativité.

Comment s'appelle ton chien?
Je n’ai pour l’instant, chez moi, qu’un chien en peluche. J’aime celui de mon amoureux, qui porte le même nom que lui. Ce que je voudrais faire, bientôt, c’est d’aller avec mon amoureux chercher un chien chez un éleveur afin qu’il soit notre chien, même si c’est moi qui devais m’en occuper le plus souvent. En Amérique du Nord, les chiens de race ne portent pas, comme en Europe, un nom qui commence par la lettre de l’année ; tous les noms sont possibles. J'aime toutefois l'idée que chaque année le nom du chien doive commencer par la même lettre ; en sachant son nom, on sait son âge (je ne suis pas sûr que les humains aimeraient qu'il en soit ainsi pour eux).

As-tu le mal de mer ?
Le vrai mal de mer, je ne sais pas. J’ai le vertige des hauteurs. Même au cinéma ou à la télévision, je dois parfois fermer les yeux devant certaines scènes.

Où aimerais-tu prendre ta retraite ?
J’espère ne jamais prendre de retraite. Mais j’aimerais pouvoir vivre une partie de l’année au Québec et une partie en Europe, ou vice-versa.

Si tu pouvais changer de job, là tout de suite, que ferais-tu ?
Vivre de mes droits d’auteur.

Dans quelle ville irais-tu vivre et travailler pendant une année ou plus si l'occasion t'était offerte ?
L’idée de travailler pour les autres ne m’intéresse pas trop. J’aimerais pouvoir travailler n’importe où, là où¸ ça me tente, à l’hôtel, à la campagne, à la montagne, au bord de la mer, jamais loin de mon amoureux.

Comme je ne sais pas trop qui a fait ou pas cet exercice, j’invite quiconque veut jour le jeu à indiquer en commentaire lorsque ce sera fait, avec un lien vers le blogue où il publié.